Le finalisme existe aussi en politique et peut tourner à la pathologie quand la finalité attendue est utopique. Exemple, la vision ultra-libérale d’un monde où les puissants peuvent exploiter ce qu’ils veulent et qui ils veulent et où la Terre tournerait bien et sans destruction exagérée de l’environnement. La crise de la modernité de notre civilisation (devenue contre-civilisation) est due à un finalisme gravement pervers, narcissique et manipulateur.