Deneb nous sert encore une couche de considérations délirantes, de confusion totale entre diverses notions, de mépris et d’arrogance, de comparaisons fumeuses, de raccourcis spécieux. Il aurait pu éviter de retomber dans ces divagations s’il avait prêté l’oreille ne serait-ce qu’une fois aux arguments que j’ai déjà eu l’immense bienveillance de lui opposer à plusieurs reprises et qui démontent ses préjugés qu’il s’obstine à maintenir indéboulonnables. Inutile que je m’atèle une fois de plus à la réfutation de ce qu’il écrit ici, il ne me répondra que par un brin d’ironie hors-sujet et réécrira les mêmes choses plus tard.