Lorsque « je » éructe un « nouveau » son pour désigner un « nouvel » objet, par exemple ce chien « kylorephazumif », étendant ainsi la langue d’un nouveau « nom », est-il nécessaire d’étendre aussi le nom de la langue de français à « francokylorephazumifais » et d’en demander la reconnaissance à tous les légiférants-à-la-place-du-sans-nom ?