L’utilisation du mot « dérapage », qui est un mot piégé de la novlangue au même titre que « démocratie », « République », « Occident », « gauche » etc..., est déjà en soi un aveu que son utilisateur est un individu totalement soumis au politiquement correct ainsi qu’aux représentations idéologique et cadre sémantique dominants imposés par les mass-médias de l’oligarchie.
Et qu’il cherche à terroriser intellectuellement ses adversaires politiques - autant qu’il est saisi d’effroi lui-même par cette doxa qu’il a misérablement repris à son compte - en faisant le sale boulot que l’oligarchie lui a délégué sans même qu’il n’en ait forcément conscience.
Ce qui renforce le côté cruellement pathétique de notre Cabanel, vulgaire et médiocre relais de la bien-pensance oligarchique, mondialiste, prédatrice, autoritaire, anti-démocratique et anti-populaire, et finalement authentiquement fasciste, elle.