La sortie débile
de l’icône hexagonale, Michel Platini, président de l’UEFA qui
demandait récemment au bas peuple brésilien de faire la trêve des luttes
sociales pendant la Coupe du Monde en dit sans doute long sur la
rupture entre le foot et les masses populaires. Il n’est guère d’endroit
dans le monde où le football est autant célébré qu’au Brésil. Mais,
pour accueillir la Coupe du monde, il a fallu payer des routes, bâtir
des hôtels, augmenter les impôts, tailler dans les autres dépenses, de
santé, d’éducation et surtout construire des stades confortables
auxquels la plupart des Brésiliens n’auront pas accès compte tenu du
prix des places. Pour calmer les esprits, on propose aux enfants des
favelas de visiter les stades, à vide… La belle affaire !.
voir : COMMENT LE POGNON A VRAIMENT POURRI LE MONDE DU BALLON ROND