Bonjour Joaquim Defghi,
Merci pour ces infos.
J’ai noté cette phrase : ’’Pour sa part, Prahalad souligne que la population pauvre représente un marché gigantesque’’.
Si ces gens sont tous pareil, on est mal partis. La population pauvre ne représentera pas un marché aussi longtemps que ladite population demeurera pauvre. De fait, elle représente un réservoir de main d’œuvre et de matière grise, inexploité comme l’ont été les ressources naturelles quand l’on ne savait pas qu’en faire.
Les capitalistes ne sont plus la solution : ils sont devenus le problème.