Pas sûr que cette edf idyllique perdure si elle perd un match (peut-être dès vendredi). Le pb c’est qu’on a du mal à accepter la défaite qui est naturelle et qui arrive soit parce qu’on est moins bon, ce qui n’est pas une tare, soit parce qu’on manque de réussite. Il ne faut pas tjs chercher de raisons malignes à une défaite. En 2010, on aurait pu appliquer ce principe et ne pas tirer à boulets rouges sur ribéry et evra qui sont deux grands joueurs. J’espère qu’on ne changera pas cette fois ci benzema en racaille si ça se passe mal.