La conséquence, on la connait : c’est la création de grands trust continentaux. Bientôt, il n’y aura plus que deux ou trois entreprises de chemins de fer dans toute l’Europe. Elles seront d’autant plus facile à collectiviser.
Bien sûr, on peut faire des grèves européennes avant, et passer directement au stade Socialisme Européen sans avoir à passer par la case libéralisme ; mais le prolétariat français ne veut pas : il est nationaliste.