Le tropisme anglophone de la plupart des élites et des journalistes est tel que cela pervertit leur raisonnement : à l’occasion de la coupe du monde, un reportage a présenté d’entrée l’anglais comme LA langue interntionale et a ensuite fait un radio-trottoir qui a constaté un faible niveau, y compris chez les professionnels du tourisme. La conclusion logique serait que ce n’est justement PAS la langue internationale, mais non, ils ont conclu qu’il leur fallait bosser davantage l’anglais, comme les Français !