Non ce n’est pas grave pour l’auteur, qui croit souffler sur les braises et se réjoui de désordres inexistants à vrai dire je pense qu’il n’y a pas plus désordre qu’avant ces lois diaboliques : si la question du foulard à l’école s’est posée, ce n’est pas uniquement par la faute des « laïcards », ne lui en déplaise.