Ca n’est vrai que si on suit des traités qui obligent l’état à se financer auprès des marchés financiers (art.123 Lisbonne).
Quand on a la souveraineté monétaire, pour peu que le pays soit capable d’exporter quelque chose (ce qui est nettement le cas de la France, qui n’est pas le Zimbabwe, rappelons-le), ce sont les marchés financiers qui doivent manger dans la main du gouvernement et non l’inverse