« Peuvent s’applique dans ce cas si douloureux pour l’entourage les paroles de jean à la famille de Lazarre »
J’en doute fortement. L’évangile parle d’un Lazare rescussité à débarrasser de ses bandelettes, pas d’un tétraplégique à abattre. Il est donc question ici d’un mort qui revient à la vie, non d’un vivant à tuer. Vous faites, AMHA, un énorme contre-sens. Et c’est Lazare. (un seul « r »)