Je préfère ne pas dire ce que j’en pense car je pourrais, et ce n’est pas dans mes habitudes, devenir grossier.
Je ne comprends pas que l’on puisse accorder un quelconque crédit aux délires d’un « penseur » comme Soral et d’un escroc comme Dieudonné.
Maintenant si les sociétés étaient créées et apportaient une aide véritable aux plus démunis, je serais prêt à faire mon méa culpa. Mais à mon avis elles n’existeront jamais, et comme d’habitude Dieudonné pointera du doigt le système qui aura coulé son projet.