Heureusement, c’est le cas. Dans une entreprise digne de ce nom, gérée de façon libérale, le patron respecte le travail de l’ouvrier (parce que sinon, il s’en ira), et l’ouvrier respecte le travail du patron (parce que sinon, le patron arrête et l’ouvrier n’a plus de boulot). Ce sont les entreprises qui réussissent.
A l’inverse, on a les salariés qui ne respectent pas les patrons (CGT et FO en tête), et les patrons qui ne respectent pas les salariés (beaucoup trop pour que je les cite). Ceux-là échouent.