En effet, j’ai aperçu des habitants tout sourire, un hilare même..., alors que les sirènes hurlaient, côté Israël. C’est dire combien ils estimaient la menace effective. Pour autant le passage était décrit par le journaliste comme étant un moment d’effroi total.
Curieusement, je n’ai pas vu les mêmes sourires côté Palestine quand les bombes tombaient.