Je rejoins Laconique ; c’est bien de brandir les icônes de 82 et 86 mais même au Brésil, 94 restera toujours un meilleur cru. C’était moche à voir, ça bétonnait, seuls Bebeto et Romario amusaient la galerie mais ils gagnèrent. C’est un fantasme de dire que les supporters au pays préfèrent 82 et 86 à 94 voire 2002. Je crois même que c’est surtout français.
Qui peut prétendre que nos générations de 82 et 86, tiens tiens aussi, ont davantage réussi que celle de 98 ? C’est de la légende urbaine pour romantiques.