« Mais alors, serons-nous autorisés à, et aurons-nous seulement l’opportunité de… leur adresser à tous, en face et bien dans la face, l’ultime manifestation de notre dégoût ? »
Et même si nous réussissions à leur crier notre dégoût en pleine face, nous passerions pour des terroristes, et nous risquerions le pilori...
Serge, votre colère et vos mots se conjuguent en moi, et je n’en changerai pas une virgule. MERCI pour votre article.
Je crois, à lire les quelques interventions ci-dessus, que les commentateurs n’ont pas compris que la colère exprimée dans votre article était surtout provoquée par l’attitude de nos médias, de nos « artistes » et de nos dirigeants...
On ne leur demande pas d’aller combattre là-bas ! On leur demande au moins un peu de pudeur, du silence devant la souffrance, la mort d’enfants innocents...
Cordialement.