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bakerstreet bakerstreet 13 août 2014 00:59

Qui lit encore Henry Miller aujourd’hui ?

Très en vogue dans les années 70 qui allaient assez bien à son teint. 
Miller m’a permis parfois de me sentir moins seul, alors que je cherchais un lieu où poser mon sac, et que sa prose me transcendait en baladin éblouit !
Me persuadant que j’avais bon dieu raison envers et contre toute apparence. 
Avec le temps, cette intuition s’avère vrai !
On ne profite vraiment que de ce qu’on jette, ou de que l’on donne. 
Des plans de carrière ne reste qu’un petit tas informe
On lisait aussi beaucoup aussi Herman Hesse à cette époque, après une longue traversée du désert. 
Lu siddarha sur la plage arrière d’un train entre Dehli et Madras
Paul Bowles, kerouac, Burroughs, ce genre de daube filé refilé, corné, annoté, roulant plein feux dans la nuit, sans ceinture de sécurité.
Le sexe devait sans entrave devait parait il nous libérer.

Non, les jeunes, Henry Miller n’est pas un footballeur, un peu sportif quand même. 
Faisant des soleils autour de la barre plus ou moins molle
C’était selon la forme du pénis et surtout de la plume
Casanova avait écrit c’est vrai plexus, nexus, et surtout sexus avant lui. 
Grand bonimenteur devant l’éternel, un vrai livre des mille et une nuits
La vie n’est qu’un mensonge, et si l’on n’a pas un kit de réparation à sa mesure,
 il faut mieux se jeter du haut du premier pont venu

Méfiez vous des imitations, et des étiquettes. 

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