Oui tous les grands moments de la légende de gauche sont en fait des carnages abjects, on dirait même que c’est ça le critère déterminant pour être reconnu comme un épisode glorieux, il faut avoir massacré en nombre des gens s’opposant à la marche du « progrès ».
De la Révolution française à l’Espagne en passant par la Commune ou la Russie, mais ça n’empêche pas ces gens (comme l’auteur, qui contrairement à d’autres a comme circonstance atténuante sa jeunesse) d’être dans leur propre esprit des parangons de morale et d’humanisme alors qu’ils sont les pires fanatiques qui soient...