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En réponse à :


chapoutier 8 août 2014 17:00

cela vient de paraitre :

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a récemment noté :

«  Nous avons déjà remis aux organisations internationales, l’ONU et l’OSCE comprises, les données d’observation de la zone du crash. Nous espérons que nos autres partenaires, qui évoquent depuis longtemps l’existence de certaines autres données irréfutables, les présentent au public d’une manière ouverte, sans alléguer leur caractère confidentiel et secret. Seule la participation ouverte et honnête de tous ceux qui possèdent des informations relatives à cette catastrophe peut être reconnue normale. Le reste sera considéré comme des tentatives malhonnêtes pour influer sur l’enquête ».

L’unique « preuve » présentée par le département d’Etat et les services secrets ukrainiens ce sont quelques images étranges avec des dates effacées qui font rire tous les médias. Pour que des preuves vraiment tangibles ne soient pas découvertes, l’armée ukrainienne pilonne méthodiquement la région du crash : les experts internationaux sont les gens comme les autres et ne veulent pas se retrouver sous les bombes. En plus, l’expert du Fonds des technologies conceptuelles Valéri Piakine signale que Kiev ne montre à personne même les documents qui sont en sa possession :

«  Deux accidents se sont produits après le Boeing malaisien. Les conversations avec les contrôleurs ont été publiées presqu’aussitôt. Cela veut dire que les contrôleurs disposent des moyens de contrôle objectif. Dans le cas de l’Ukraine rien n’a été publié. Pis encore, rien n’a été présenté, excepté des mots ».
Lire la suite : http://french.ruvr.ru/2014_08_08/Les-scenarios-de-la-guerre-le-Service-de-securite-dUkraine-opte-pour-la-fantasy-6616/


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