Question annexe ou, plutôt, connexe : quid de la porosité entre les sphères dites « du public » ou « du privé » ?
Pistes à travailler pour qui se sentirait en mesure de nous pondre un article sur le sujet :
* qui fait les frais de la formation/éducation/apprentissage de bien des métiers considérés comme « du privé ?
( avocats - médecins - ingénieurs - chercheur du public pouvant bénéficier d’exclusivités dans le privé ? - cf http://www.lesgrandsdebats.fr/Debats/La-BnF-a-t-elle-privatise-le-domaine-public/La-libre-diffusion-de-la-culture-est-elle-compatible-avec-l-exclusivite-439 ... )
* entreprises dépendant, pratiquement, et avant tout, de commandes payées par le public ?
( exemples : avions militaires / travaux publics / ... )
* prospective et orientation des ressources en main d’oeuvre ?
( exemple : en informatique - qui assume la prospective qui engage des jeunes dans des dits »partenariats« avec certains géants mondiaux du domaine ? Qui assume, en fait l’auto-formation exigée des candidats sur le »marché« du »travail« ? Qui assume l’investissement personnel des spécialisations indispensables à la réalisation ponctuelle de bien des »projets" militaires confiés à des sous-traitants ? ... )
* liens, connivences, complicités, vases communicants entre public et privé dans les cursus des hauts dirigeants ... ou même, à tous niveau, en considérant, par exemple, la reprise d’activité dans le privé d’anciens militaires ... ?
* quel pourcentage des Français travaille réellement uniquement dans un domaine ne relevant strictement pas de l’effort public ?