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Hervé Hum Hervé Hum 16 août 2014 11:57

cistus, quand on pose l’égalité, doit on considérer la quantité ou la qualité ?

Vous, vous posez la quantité comme critère d’égalité et remarquez que cela n’est pas compatible avec le critère de qualité !

Prendre la quantité pour poser l’égalité revient à dire que deux oeufs sont égaux à deux boeufs ! Ce qui est faux pour tout le monde, sauf pour le voleur !

On ne peut donc pas prendre la quantité comme critère d’égalité si on traite de la qualité humaine et même de la nature.

Aussi, votre logique vous amène à dire que pour faire l’égalité en quantité, il faut supprimer le critère de qualité. Une uniformisation qui interdit de fait la diversité et la créativité humaine.

Mais comment doit on penser l’égalité en fonction de la qualité ? Par son apport relationnel dans la société. Autrement appelé, le mérite. Or, ce dernier est personnel et ne peut être exploité que par le vol et la contrainte donc réduction ou privation de liberté.

L’inégalité réside dans l’exploitation des qualités et mérites des uns par les autres, soit, des non propriétaires des moyens de productions et de leur financement, par les propriétaires.

L’égalité consiste donc à supprimer la propriété des moyens de productions et de leur financement pour répartir, redistribuer la richesse produite en fonction des qualités et mérites personnel, c’est à dire attaché à la personne et non comme aujourd’hui, attaché à la propriété de l’espace, source de toutes les inégalités et privation de liberté.

La liberté consiste donc de permettre à chacun de vivre en harmonie selon sa nature d’être véritable, d’exploiter ses qualités propres et l’égalité consiste à être récompensé selon son apport relationnel dans la société.

Inutile pour cela de faire appel à un sauveur, simplement à remettre chacun à sa place, c’est à dire, selon son apport personnel ou sa capacité à exploiter ses qualités personnelles et non plus selon sa capacité à exploiter les qualités d’autrui ,définition du parasitisme social et économique.

Ce qui implique l’abolition de la propriété des moyens de productions et de leur financement et donc de son héritage.


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