Bonjour, Prolog.
Non, le fait que le patron soit coréen ne change rien à la nature de cette nouvelle offensive industrielle dans la panification. Disons qu’il s’agit là plutôt d’une curiosité, je dirais même un prêté pour un rendu, eu égard aux implantations françaises en Asie dans le domaine de l’alimentation.
Compte tenu de la présumée puissance financière de ce groupe, ce n’en est pas moins un nouveau danger pour les artisans.