En tout cas, ce n’est pas le monde arabe qui nous sauvera !
En clair, les americains ne sont pas nous, ils sont « presque » nous. Le 11 septembre 2001, nous fumes tous americains devant les chants et les danses des palestiniens.
Demain, s’il faut aider les americains, nous le feront comme les grands mères aident leurs petits enfants. Ceux-ci sont ingrats, certes, mais font parti de la famille.
Si l’Europe a à se plaindre des USA, ce n’est pas du peuple americain mais de leurs dirigeants, comme d’ailleurs des notres (de dirigeants) qui ont simplement oubliés de s’occuper de leurs peuples.