un rappel : il s’agit avant tout d’une « recension » du dernier livre de Bernard Friot auquel l’article renvoie pour l’assise de ce salaire à vie...
autre rappel utile : il ne s’agit nullement d’un « doux rêve » ou d’une utopie, mais d’un droit à la subsistance d’abord, puis du droit à une vie digne et décente, à accepter chacun pour tous...
depuis que l’espèce est entrée dans l’ère de l’energie donc de l’abondance (surproduction mais prix maintenus élevés par divers artifices pour ne combler que les besoins solvables, etc), la « valeur travail » est un gâteau qui ne cesse de diminuer - normal puisque la part des machines et autres algorithmes augmente...
donc le problème est bien celui de la répartition du travail restant et de distribution des richesses produites...