en Europe, ce qui est le plus grave , c ’est le fossé qui se creuse entre ce que pensent les peuples et ce que racontent les dirigeants, relayés , soutenus par des médias serviles . Plus l’antiaméricanisme (légitime à mon sens) s’emparent des masses, plus nos politiciens s’agenouillent devant les USA, leur servent la soupe avec un zèle des plus incompréhensibles
Le résultat est que Poutine, qui n’est pas un enfant de choeur , il faut le reconnaître , passe pour l’incompris
A forcer de vouloir marcher le pantalon baissé devant l’oncle Sam, il est à craindre qu’on perde l’équilibre, et qu’on se retrouve le nez dans le ruisseau, il sera bien temps de dire alors : c’est la faute à Rousseau