Il me semble que cette affaire est exemplaire de cette schizophrénie des gouvernants ,censés défendre grace au ministère de l’environnement une évolution de la société vers la prise en compte des effets de l’activité humaine sur la nature, mais qui est « doublé » par d’autres ministères (industrie, emploi...) et autres « lobbies » pour imposer des mesures « qui plaisent aux actionnaires » !
C’est bien pourquoi il pourra être souhaitable d’envisager un super ministre de l’environnement, ou un vice-premier ministre « écolo », de façon à ne plus concevoir de lois qui ne prennent en considération la nécessité ecologique ; mais aussi rappeler constament la modernité de cette pensée : la future « croissance » (pour ceux qui imaginent ne pouvoir s’en passer) et les futurs emplois sont dans la transformation de nos sociétés de consommation, en sociétés responsables de leurs actes et conscientes de leurs choix !