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Philippe VERGNES 20 septembre 2014 10:03

Bonjour Philouïe,


Dans le sens que vous donnez à l’expression de la castration symbolique à 20/09 8:27, et en corrigeant l’analyse freudienne de la perte du pénis à 18/09 19:35 : OUI ! Tout à fait d’accord !

Revenons maintenant sur la notion de réel. Vous définissez le réel selon l’équation réel = réalité du sujet + ombre. Mais dans cette définition, où situez-vous le réel et où situez-vous la réalité du sujet ? (Au niveau du dedans ou au niveau du dehors de la psyché ?)

Car quant à l’ombre cela ne fait aucun doute : elle est située au niveau intrapsychique (le dedans). Ainsi, en reformulant, dans votre équation le réel est au dedans ou au dehors  ? Et la réalité du sujet est-elle en dedans ou en dehors de sa psyché ?

Vous dites à 20/09 8:15 : « On peut donc dire que le clivage est entre le réel et la réalité du sujet. » D’où selon votre définition qui précède peut se traduire par : on peut donc dire que le clivage est entre le réel et ce qu’il croit être réel. OUI également ! Tout à fait d’accord dans le sens où ce clivage est projeté au dehors de la psyché. C’est le mécanisme de projection.

Mais ce dont je parle moi est uniquement le clivage du moi AVANT qu’il ne fasse l’objet du processus de projection hors de la psyché. Nous ne sommes donc pas au même niveau d’analyse, de là les interférences et les paradoxes de la communication qu’il est très difficile de saisir. Ce qui apparaît dans vos commentaires, c’est justement cette absence de distinction entre le dedans et le dehors, d’où ma question en début de post.

Je pense qu’à ce stade de la discussion, vous gagnerez en précisions si vous clarifiez votre propos en sachant comment ont créé des paradoxes, mais suite à votre réponse à JL ci-dessus sur laquelle il est préférable de passer l’éponge pour rester dans le fond du sujet en évitant les bruits, je vous renvoie à votre propre conclusion : « ... l’autre, celui qui répond, n’est que l’écho qui permet la confrontation de ce que l’on pense avec une forme de réel. l’autre nous aide à structurer notre penséemais au final, nous nous parlons à nous-même. » Ce qui m’a foi est assez incompatible avec votre affirmation : « ... je connais bien le garnement »smiley (Plutôt pas mal comme contradiction.)

Mais poursuivez donc votre réflexion de fond en veillant bien toutefois à préciser la distinction entre le dedans et le dehors (questions du début de commentaire).

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