Il n’y a pas d’affinités culturelles entre la Russie chrétienne et la Turquie qui a appuyé l’attaque des djihadistes contre Kessab, nord de la Syrie, l’an dernier. Cette petite ville est habitée par des descendants du Génocide des Arméniens. Leurs agresseurs djihadistes venaient de Turquie qui n’a toujours pas reconnu le Génocide des Arméniens qu’il avait ordonné en 1915. Et vouloir s’allier avec ce pays très imprévisible présentera un risque pour Poutine, même davantage que pour les USA par le biais de l’OTAN.