Article qui capte l’intérêt du lecteur au début, évoquant le thème de la mort et de la vie, l’ absurdité de la vie qui se termine par la fin humaine et alors, que l’on s’attend à des révélations époustouflantes touchant à l’existencialisme, à la spiritualité, plus rien, tout s’arrête pour bifurquer sur la biographie d’un prélat, J. HAMBURGUEUR, inconnu du grand public et peut-être même des fidèles catholiques, tant les prêtres sont nombreux au sein de la hiérarchie romaine.
On ne sait pas ce que pensait J. HAMBURGUEUR de la vie et de la mort en tant que croyant et prêtre, parce que tout bonnement l’auteur nous plante là, sans crier gare !
A contrario, il nous parle de sa défiance envers le PEN... et là on comprend que l’on s’est fait harponnée sur une fausse piste.