En France, les pires coups tordus sont souvent venus de la « gauche » qui s’est servi de la passivité des organisations dites « populaires » pour faire passer le contraire de ce qu’elle avait promis.
Avec Ségolène Royal, qui a été une aparatchik tout au long de sa carrière, et qui était avec Mitterrand lors des pires coups de ce dernier, ça risque d’être encore pire.