sophie
bien sur, j’y ai pensé aussi.
mais si nous ne tombons pas dans la parano, style « le meilleur des mondes » ou « 1789 », pourquoi ne pas imaginer la « bonne volonté » des ces créatifs qui n’ont rien à gagner (et qui s’en foutent, vu leur situation financière) et qui ont réellement la volonté de proposer un autre monde possible ?