Le diable qui hante l’esprit étriqué de BHL apparait au travers de productions prétendument littéraires ou scéniques parait bien exsangue.
Seul le roman publié à la fin des années 80, dont certains chapitres témoignent qu’il ne peut être issu d’une plume masculine, encore moins la sienne dépourvue de toute sensibilité ou nuance, semble déroger à cette fatalité ... poursuivant inlassablement l’auteur méga-mégalo.
A l’exception de très rares articles relatant les circonstances de la naissance de l’ouvrage, black-out total sur le sujet.
Quant à la personnalité de bhl, elle parait dominée par une forme d’esprit analytique, systématique, cristallisée et compulsive,
trait de caractère commun à Jacques Attali,
profils de personnalités chez qui la mélodie des émotions parait irrévocablement exclue malgré des tentatives répétées à capter la lumière,
si ce n’est au moyen de l’exploitation abusive réseaux d’influence, politiques médiatiques
jusqu’à la saturation du public