Bonjour Layli Victor,
Le problème du refroidissement des surgénérateurs par du sodium pose un problème de sûreté « a priori » qui deviendrait très important si le nombre de centrales installées dans le monde était multiplié par la demande impérieuse d’énergie de l’humanité.
Le plomb pur fond à température relativement élevée, mais étant le déchet ultime de la décomposition radioactive, il est peu probable qu’il pose un problème de radioactivité en présence de neutrons. Des alliages à base d’étain deviennent liquides à plus basse température : il paraît même que durant la guerre un faussaire avait fabriqué un alliage qui fondait à 40°C ce qui lui permettait de copier à la perfection le tampon sec utilisé par Vichy pour les cartes d’identités.
J’ai imaginé une autre solution et je ne sais ce qu’elle vaut. En voici le principe :
le cœur est constitué de plaques entre lesquelles se déplacent des plaques de fer pur (métal au noyau très stable) en ressortant du cœur ces plaques à la très grande surface d’échange sont refroidies par un fort courant d’hélium.
Il n’y aurait pas ainsi le risque d’une solidification du caloporteur en cas d’incident.
Cordialement, Alren