Bravo Diverna, Je partage ce point de vue et sans tomber dans l’utopisme, il faudra bien trouver des solutions avant que ça finisse en eau de boudin .
Nous n’avons plus d’industries, complètement sacrifiées au dieu fric. Les patrons sont devenus des économistes qui spéculent sur les marchés mondiaux à la recherche d’opérations fructueuses. Le système capitaliste a bien museler la classe ouvrière qu’ils soient machinistes, bureaucrates ou administratifs, employés en agriculture etc., tous s’accrochent à leurs barcasses dans cette tempête, espérant s’en sortir sans trop de dégât. En réalité, cet attentisme ne mènera qu’a une révolution car demain quand la faim deviendra insoutenable alors ce sera l’explosion avec tout ce que cela comporte .
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