@ Alberto,
Et on oublie un peu trop Clémenceau qui ne fut pas un tendre, non plus...
Des soldats lui cueillirent un bouquet de coqueliquots et lui offrirent. Rouge... bien sûr, couleur du sang.
Le drame c’est que comme le dit la chanson de Craonne, ce sont les « purotins » de misère (ceux qui sont dans la purée) qui ont donné leur sang pour des intérêts aux antipodes des leurs. Mon grand-père en fut, c’était un paysan beaujolais, « patriote » comme l’on était à l’époque, c’est à dire abreuvé depuis le berceau de propagande républicaine anti-allemande, prussienne, devrais-je plutôt dire. Et de l’autre côté du Rhin, c’était itou.
Cordialement.