Monsieur Samba, je sais que vous ne vous rendez pas compte de ce que vous dites par manque de culture scientifique et technologique.
Mais ici vous insultez les travailleurs de l’EDF. Voilà bientôt près de 60 ans que les gens d’EDF gèrent un parc nucléaire. Les accidents sur le REP n’ont jamais dépassé le niveau 2.
L’accident le plus grave a été une fusion partielle de deux assemblages combustibles sur un réacteur Graphite-Gaz à Saint Laurent des Eaux vite maîtrisé.
Le prix de l’électricité pour le consommateur en France est le moins cher d’Europe.
Les travailleurs de l’EDF méritent le respect.
Et puisque vous faites une obsession de Fessenheim je donne ci-dessous, un droit de réponse [qui sera censuré] de la CGT de Fessenheim au réseau SDN au profil duquel vous collez parfaitement :
Droit de réponse CGT Fessenheim
La loi sur la Transition Énergétique prévoit un
passage à 50% du nucléaire dans le mix énergétique en 2025. Cela revient à
mettre à l’arrêt 2 tranches nucléaires
par an à partir de 2016. Même si Fessenheim
n’est pas clairement condamnée dans le texte de loi, la loi donne satisfaction
aux revendications que portent les
anti-nucléaires, bien davantage et plus rapidement d’ailleurs qu’ils ne
pouvaient l’espérer.
La CGT de Fessenheim rappelle comme elle
l’a déjà fait son attachement à la liberté d’opinion et aux libertés
individuelles. Elle entend les valeurs de l’idéologie anti-nucléaire, même si
elle les conteste. La CGT a montré
sa capacité à tenir le débat contradictoire, à opposer aux errements obscurantistes
d’un mouvement qui fonde son succès sur la peur, sa vision d’un mix énergétique
pragmatique, rationnel soucieux de l’approvisionnement et de l’impact
environnemental.
Toutefois, la tolérance de la CGT
s’arrête là où le mensonge diffamatoire touche à une valeur fondamentale ainsi
qu’aux femmes et aux hommes qui la porte, celle
du travail. Pour sa campagne d’action récente, le réseau Sortir du Nucléaire a choisi de qualifier de ’rafistolage’
le travail des salariés du secteur nucléaire.
La CGT veut rappeler la qualité du
travail effectué dans les centrales ; une qualité portée par des exigences
règlementaires de plus en plus strictes, par le professionnalisme des salariés
à tous les niveaux, une qualité garantie par des contrôles multiples, indépendants
et reconnus comme tels, qui ne mérite pas d’être salie. L’exemplarité visée par
les salariés, l’amélioration continue de la Sûreté qui fait profiter les
installations des études et technologies nouvelles ainsi que du retour
d’expérience ne permettent pas qualifier les travaux mis en œuvre dans les
centrales nucléaire de ’rafistolage’.