Mais si, Antiréac, je suis heureux de vivre ici, qui ne le serait pas ?
Et, de par mon travail, j’ai largement contribué au confort que nous avions mais être représenté par des gens qui employent mes impôts pour financer les nazis ukrainiens à perpétrer un génocide au Donbass, là, c’est vrai, je ne l’accepte pas !