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Spartacus Lequidam Spartacus 25 novembre 2014 11:19

@Cabanel


Peut être vous faut il lire un livre d’économie. Et en sachiez les définitions.

La politique de l’offre et la demande sont régies par des règles....Ne les inventez pas au grès de vos idéologies.

Que l’état intervienne au niveau d’une entreprise oui d’un particulier ne change pas la définition. C’est dans les 2 cas une politique de création de la demande. C’est factuel. 

(En plus c’est faux de dire qu’elles sont données aux entreprises, car les aides sont à 80% des remises de cotisations sociales qui ne sont en fait que des aides aux régimes sociaux des travailleurs qui n’appartiennent pas à l’entreprise. l’entreprise n’étant que le percepteur des cotisations sociales).

Pour votre info :
La politique de la demande est keynésienne, la politique de l’offre est libérale.

L’une est macroeconomique, l’autre est microéconomique.

La politique de l’offre est facile à comprendre c’est en 3 points. Rechercher la fiscalité minimale, rechercher à réglementer au minimum et supprimer l’intervention de l’état dans l’économie de marché pour favoriser l’offre. 

La politique de la demande (ou Keynésienne) est de considérer que la demande est le moteur de l’économie. Et l’intervention de l’état et ses dépenses à crédit favorise l’économie. 

Quand les dépenses publiques sont supérieures aux recettes, c’est obligatoirement une politique de relance de la demande. C’est factuel. POINT. C’est la définition Keynésienne de la politique de la demande.

Vous aurez beau tourner en postures, ou jeu sur l’émotions.

Nous n’avons jamais connu de politique de l’offre et plus on s’en éloigne plus le chômage augmente. Les chiffres sont là ! La preuve est intangible.


Quand au pouvoir d’achat il ne peut avoir pour origine que le travail, les entreprises, c’est-à-dire la rémunération du travailleur, de l’épargnant et de l’entrepreneur qui ont contribué à créer la valeur ajoutée.

En fait vos laïus sur la croissance impossible sont conditionnés par 70 ans d’étatisations des ressources pas encore créée du secteur marchand pour solder les dettes des politiques de relance par la demande.

La dette créee par les politiques de la demande d’hier sont responsable de la faible croissance. Et jamais ces politiques n’ont cessées. 

On ne résout pas les conséquences avec les moyens qui créee les causes.

Combien de relances Keynésiennes vous faut il pour comprendre que cela fait 70 ans que vivre au présent sur le compte du futur ne arche pas ?

Maintenant nous sommes le dans le futur d’hier.....
Hier les cotisations sociales n’étaient pas en balance des recettes. 
Hier (comme aujourd’hui) les fonctionnaires étaient payés par l’emprunt à rembourser aujourd’hui.
Hier la croissance s’est achetée par l’emprunt.

Aujourd’hui nous payons cette génération d’irresponsables et de soixante-huitards qui confondent politique de l’offre et politique de la demande.


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