Les élèves progressent mieux dans un contexte coopératif que dans un système compétitif.
Si la compétition génère des gagnants, elle génère systématiquement des perdants, et des derniers aussi, et ce quel que soit le niveau, donc cela dessert toujours la moitié de la classe ( ceux qui sont « inférieurs » à l’autre moitié ).
Au moins l’absence de note permet de se situer uniquement à ce qui importe : son niveau, là où on peut progresser etc...