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njama njama 12 décembre 2014 12:05


des découvertes archéologiques appartenant au patrimoine du peuple source Hébreux, il y en a aussi un tas énorme en Égypte. La similitude entre Hébreux et Égyptiens ** crève les yeux
A l’époque de l’Exode, ce qui est nommé la Palestine aujourd’hui était une province sous domination égyptienne, plus au nord vers la Syrie / Turquie actuelles ..., c’était l’empire Hittite : Carte : la situation géopolitique du Moyen-Orient après les conquêtes hittites de Suppiluliuma Ier, Mursili II et Muwatalli II, vers 1275.

La stèle de Mérenptah, conservée au musée égyptien du Caire, atteste que, postérieurement à -1200, les Israélites sont une population du pays de Canaan.

Il ne resterait donc, comme période à laquelle l’Exode aurait pu avoir lieu, que l’intervalle entre 1300 et 1200 av. J.-C.. C’est l’hypothèse qui semble la plus plausible parmi les archéologues, pour rechercher si un tel exode aurait pu avoir lieu.
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absence de traces de l’Exode, données archéologiques négatives.

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** ... l’origine égyptienne des Hébreux
Quatrième de couverture
Peu après la disparition d’Akhénaton, le pharaon adorateur d’Aton, vers 1344 av. J.C., sa capitale Akhet-Aton, l’actuelle Tell el Amarna, est [ bizarrement ] désertée. C’est la fin du monothéisme en Egypte. Ce n’est pas pour autant la fin du Dieu unique.

Messod et Roger Sabbah, deux chercheurs hébraïsants, ont découvert après vingt ans d’études le message caché de la Bible : le peuple Hébreu, celui de l’Exode, celui dont on ne trouve aucune trace dans l’Egypte historique, n’est autre que ta population d’Akhet-Aton chassée par le Grand Vizir, qui régna peu après Toutankhamon sous le nom de pharaon Ni. Déportés en Canaan, province égyptienne située à quinze jours de marche de la vallée du Nil, les prêtres et les notables monothéistes fondent, quarante années après la campagne militaire de Toutankhamon, le royaume de Yahouda (la Judée).

Messod et Roger Sabbah découvrent de troublantes analogies entre l’alphabet hébreu et l’écriture hiéroglyphique, entre la Genèse et la cosmologie égyptienne. Ils montrent que les noms des personnages de la Bible, Abraham, Moïse, Aaron, Josué, Sarah, Laban, dissimulent les noms et les titres royaux des pharaons de la XIIIe dynastie. Ils retrouvent transcrit le nom d’Akhenaton dans la Bible, notamment grâce à l’histoire de l’ânesse de Balaam qui proclame : « Anokhi Atone-Kha », ce qui veut dire « Je suis ton Dieu Aton », qui deviendra « Anokhi Adonaï », « je suis l’Eternel ton Dieu ».

Grâce à la Bible, la quintessence de la sagesse égyptienne est parvenue jusqu’à nous, portée par la tradition orale de ceux qui se firent appeler les Hébreux.

 
http://www.amazon.fr/Les-Secrets-lExode-lorigine-%C3%A9gyptienne/dp/2865531406
Tout n’est peut-être pas à prendre pour argent comptant dans ce travail de recherches qui ouvre de nombreuses pistes, mais il y a une somme très importante d’éléments qui ne laissent pas de place aux doutes concernant cette parenté égyptienne


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