Y’a un goût d’oxymore dans cette dernière phrase, Fergus... Ca me fait penser à Paul Villach, qui se moquait allègrement des miens.
Salut Paul, c’est Noël ici.
Mieux que la trève, le couloir humanitaire, Fergus, la voilà la parabole adéquate. Tout-le-monde sait que ces derniers permettent, de part et d’autre ; les pires horreurs en toute bienséance. Je sias, c’est un défaut, ce besoin de formule, mais la voilà :
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Noël, c’est le couloir humanitaire de fin d’année.
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Ceci-dit, il n’est pas long : Un tournant, et crac, c’est le jour de l’an.