« Libre à toi de croire que Poutine est le « Pepe Mujica » de la Russie. »
Je ne t’ai pas parlé de Poutine ! Mais tu sais quand-même ce que j’en pense. Tu es trop fort !
«
Libre à toi de penser que les 200 000 morts Syriens
ne sont pas des civils. Que tu l’ecrives, c’est un peu crado pour les
civils quand même. »
Ce n’est pas une pensée mais un fait. Et je ne vois pas en quoi c’est crado.
« Tu es libres, et t’exprimes, parce que tu es dans une democratie. »
Oui, pour le moment, mais on a toujours dix ans de retard sur les États-Unis, non ?
«
Tu
as le droit de croire aux extraterrestres, à la chine copine, au gentil
Poutine contre le mechant Obama, au gentils Yen et rouble contre le
méchant Dollars. »
Encore une fois, je ne t’ai parlé ni de l’un ni de l’autre.
« Tu as le droit de tout cà, parce que tu n’es pas en Russie mais que tu es en democratie ;) »
Contrairement à ce que tu croies, il y a une véritable presse d’oposition en Russie, et qui l’insulte à chaque paragraphe (comme Novaïa Gazeta ou Fontanka)
«
Alors
peut être te faudrait il un peu de respect pour ces gens qui se
battent, qui se sont battus pour que tu puisses les ecrires en liberté,
tes anneries. »
En quoi et à qui ai-je manqué de respect ? (ah oui, à Obama, j’ai déjà oublié !)
«
Cordialement. »
Moi non plus.