Les conspirationnistes du 11 septembre 2001 ont fait leur temps. Leurs pseudo-arguments à coups d’approximations, de négation des phénomènes aléatoires, de raisonnements simplistes, de recherches sélectives, de zapping mental, de distorsions intellectuelles, de pseudo-science, d’arguments d’autorité, de sophismes, de comparaisons douteuses, de questions suspicieuses sans fin, de logique paranoïaque, de méthode hypercritique, de citations tronquées, d’interprétations hasardeuses d’images et de témoignages, et d’approche dogmatique ont fini par lasser.
La crédibilité des conspirationnistes finit toujours par s’émousser. Il en sera de même pour
ceux du 7 janvier 2015.