Un effet annexe de ces problèmes particuliers à la France, c’est l’image à l’étranger, la réputation. Une équipe, américaine je crois, avait fait récemment un classement mondial, une cotation des universités en fonction de divers critères comme par exemple le nombre de prix Nobel, mais cette fragmentation française en un grand nombre d’universités et d’écoles petites ou grandes fait reculer les universités françaises au classement, car au lieu de former un seul et grand campus, elles concourraient séparément et perdaient mécaniquement des points sur tous les critères. Du coup, surtout à Paris, le chantier du regroupement en grands pôles a été réactivé !