=)
Je laisse de côté les critiques de forme, qui arrivent toujours quand on se noie dans le fond.
Côté persécution, idem. Je me frotte assez souvent aux avis divergents pour m’en accommoder. Je parle du fond, et uniquement du fond.
Et pour le fond, je suis sceptique à vos réponses. Vos nuances n’en sont pas.
Mais bon, on vous lit et on comprend : ne pas affirmer trop fort que l’embryon est un être humain. Emettre un doute quant à sa valeur.
Sans doute que la réalité que je décris est un peu pénible à voir en face. Alors on nuancera en disant : de toute façon la femme (« qui n’est pas encore mère... ») a le pouvoir sur son enfant (« qui n’est pas vraiment un enfant.. »).
Bref, n’appelons pas un chat un chat, ça pourrait être pénible.