Actuellement,
tout en étant lucide sur les contradictions, il faut se réjouir
pleinement de la victoire de Syriza , même si c’est dommage de ne pas
avoir atteint de majorité parlementaire absolue pour deux sièges
seulement. Ce raz de marée va redonner confiance aux secteurs les plus
conscients, et permettre un redémarrage des mobilisations populaires.
C’est bien sûr la variable clé. Enfin, une telle vague va avoir un très
grand impact international, sur les gouvernements et sur toute cette
gauche sociale et politique qui mise, à juste titre, sur Syriza et qui a
envie de se jeter dans des batailles.
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Ce qui se passe en Grèce,
on ne le dira jamais assez est énorme, proprement historique, la
première brèche décisive avec le néolibéralisme en Europe, et
l’opportunité extraordinaire pour la « gauche de gauche » de rompre avec
la malédiction des défaites qui sont celles des batailles perdues sans
avoir été livrées. Une seule option donc : oser lutter, oser vaincre ! »
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Voir : SYRIZA, UNE BRÈCHE DANS L’EUROPE NÉOLIBÉRALE !