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Peretz1 Peretz1 6 février 2015 12:21

On pourrait régler le problème des dettes souveraines facilement en autorisant les créanciers d’inscrire dans leur compte de bilan les dettes souveraines comme réglées, au moins celles venant à échéance à court terme. On supprimerait simplement la valeur de la créance de la colonne actif et on la remplacerait par la même valeur comme actif mais en réserve. Ce qui est un faux en écriture (pas de mouvements monétaires réels du compte d’exploitation) au niveau microéconomique peut ne pas l’être au niveau d’un Etat souverain. La banque perd ses intérêts en cours – tout se passe comme si rien n’avait été prêté - mais renforce ses fonds propres par ce jeu d’écriture. Alors qu’un simple effacement unilatéral, qui d’ailleurs a eu lieu quelquefois en faveur de pays surendettés en Afrique en particulier, lèse le prêteur qui perd son capital., dans ce cas il efface tout et revient à la case départ sans dommage pour les parties.


 Ce n’est pas pour favoriser les banques, mais pour supprimer une pression inhumaine du système capitaliste sur les populations concernées. Utopique mais pas irréaliste.

Ce texte est extrait de « Pour une économie humaine, renversons la table » (Amazon.fr)

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