J’ai enseigné dans les Aurès pendant deux ans à Batna.
La condition des jeunes femmes chaouïas ne m’a pas paru très différente de celle des femmes arabes.
Mariages arrangés, évaluation de la somme à demander au (vieux) futur mari en faonction des diplômes de la jeune femme, enfermement, discrimination professionnelles...
La Kahina, c’était il y a plus de 2000 ans.
Elle était berbère,
mais elle n’était pas musulmane.