Ce qui m’étonne le plus, c’est l’absence totale de réaction des prêcheurs d’extrême-gauche pour qui le Venezuela ( après Cuba bien sûr ) est le paradis sur terre.
Et pourtant la leçon vaut bien un fromage. Si on peut admettre que Chavez voulait le bien de son peuple, il n’en revient pas moins que, comme dans tout régime avec un militaire à sa tête, d’autres profitent du populisme exacerbé du dirigeant pour faire prospérer leurs petites affaires personnelles d’intouchables et n’en ont que faire de « l’alibi populaire ».
Je serai curieux de lire ici une intervention de Fortin ou autres à ce sujet.
Mais ils ne le feront pas et c’est dommage car l’enquête à laquelle tu t’es livré, cher Morice, va bien plus loin que cette simple affaire de cocaïne, toute stupéfiante qu’elle soit.